mercredi 25 janvier 2017

Cat shed

on pourrait croire que je suis sponsorisé ?
Non, aucunement.
Ca découle de ce nouveau mot que m'a fait découvrir Jacques : le miséramodélisme
Et dans ce cadre, je chourave à mon chat les emballages de ses rations. Sans vouloir faire de publicité, les murs sont en Canaillou, le faîte du lanterneau c'est du Gourmet (hmmm...) et la toiture sera en Whiskas (c'est du solide)
Oui... je ne peux pas passer sous silence que j'ai participé : le support de la petite porte de coin vient d'un pack de Chouffe
Cette petite porte a une histoire ; j'ignore si elle a jamais existé, mais en regardant l'ébauche hier soir, Sabine me fait remarquer :
  - Par où entre t'on ?
- Ben... y a une grande porte coulissant sur rail d'un côté, j'ai pas fait l'ouverture vu que je la représente fermée. Et comme ça c'est plus solide. Y a aussi une porte qui donne de l'autre côté avec la poutre transporteur aérien bizarre, mais elle ne donne pas de plain pied, elle ouvre à hauteur de plancher de wagon...
 - Donc, en hiver, si un gars a besoin de pisser, on lui fait glisser la grande porte ?
- ...

Bon, voilà, j'ai ouvert une porte sur un pignon. Les autres façades donnent sur des voies, ce serait malheureux de déplorer des accidents.
Mis en suite directe de "Pour des briques..." on comprendra que les morceaux on été collés ensemble
et le bâtiment commence à montrer son volume
avec les éléments ajoutés en relief on en oubliera peut-être qu'il n'en a pas de relief...
Mais en réalité c'est vrai, quasi tout est sur le même plan : les fenêtres sont affleurantes et seule la toiture est en très petit débord.
à suivre donc après les bollekes (de porc) façon Marrakech pour fêter le bouquet

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