dimanche 26 novembre 2017

les forçats du rail

à tout saigneur... tout honneur.
J'entends par là que je vais commencer cette page en revenant sur ma sidérurgie (mais je suis sans doute victime d'une confusion de termes)

La "démontabilité" de mon bloc (encore) Haut-Fourneau a pris fin. Le plancher de coulée est maintenant collé sur sa base, les pieds de la halle sont équipés de "clous" qui permettent de la positionner et le terrain est plus ou moins terminé autour de la base du HF.
Ne restent que des petits détails de sidérurgie plastique...
Avant de me lancer plus loin, j'ai voulu me donner du cœur au ventre.


note : ce soleil couchant est absolument possible sur le site réel. Qu'on se réfère aux divers plans que j'ai déjà publiés ici, c'est bien derrière les cases à minerai qu'il se couche.

Place maintenant aux autres forçats : notre collectif du RMM.
Les arches sont terminées, on a pu le constater lors de l'exposition
la voûte du passage de la N95 était préparée. Jacques a pris les modules chez lui pour effectuer le ballastage, qui doit se faire dans le calme et en laissant au ballast le temps de sécher.
Dans la foulée, il a commencé de poser un à un les moellons du pierré côté Pondrôme
cela promet... et il a fignolé les raccords au sol (on reste dans les interventions plastiques hein ?)

Les éléments pour construire le "trottoir" qui longe les voies de chaque côté ont été préparés par Jean Marie, ils n'attendaient plus que d'être posés.
La première opération a été de scier précisément les blocs qui prennent appui sur les renforts des piliers. Tout un conciliabule pour savoir si on laissait un débord de 1 mm ou bien seulement de 0,5 mm.
On voit la recherche du détail hein ? On est tombé d'accord sur "à peu près un demi millimètre"
Pas rire, c'est tout de même précis, preuve nous en est donnée par l'outil
ensuite il a fallu scier en série (pas en scierie, mais quasi...) une quarantaine (là on est plus approximatifs) de ces blocs.
et les coller au droit des piliers. Les éléments intermédiaires pris dans des lamelles profilées aux justes mesures ont suivi immédiatement. Parfois un peu tôt, faut laisser un peu de temps à la colle hé punaise !
et là, on voit de plus en plus le viaduc de Thanville qui arrive.
et on se préoccupe déjà de l'étape suivante.
sûr que là on va reparler de précision... ça va devenir de l'horlogerie.
Mais c'est pour plus tard.

about rail model making, work is progressing.
On the front of Thanville: the sidewalks of the viaduct begin to take place
And the foundations of my blast furnace are on a good turn.

acerca de la fabricación de modelos ferroviarios, el trabajo está progresando.
En el frente de Thanville: las aceras del viaducto comienzan a tener lugar
Y los cimientos de mi alto horno están en buen camino.

vendredi 17 novembre 2017

Sidérurgie (qui se voudrait) esthétique

Mais qui n'est qu'une sidérurgie d'urgence et de terrain. on fait ce qu'on peu avec ce qu'on a...
De cela aussi je dois vous en parler.
Le projet existe toujours,  il est encore vivant...
D'accord, je ne m'y suis pas tenu avec constance, mais petit à petit ça avance.
on va reprendre là où on en était. Ne vous attendez pas à des progrès spectaculaires, ce sont juste
quelques essais pour juger de l'encombrement et des formes à réaliser.

Premièrement j'ai décidé de retapisser le premier cowper de la même manière que j'avais utilisée pour le second.
Dans la foulée j'ai créé des plaques de tôle pour le pot à poussières.


Pour ce qui est du cyclone, je ne sais pas encore comment faire...
Sur la surface de ce qui deviendra le plancher de coulée, j'avais déjà une esquisse des canaux de coulée.
J'ai réalisé une plaque censée les reproduire

ils sont creusés dans une plaque de carton revêtue d'enduit.
Le sable étant nécessaire pour intervenir d'urgence sur le cours de la fonte ou du laitier, j'ai placé trois tas de sable
voilà, ils sont en place et les barrages prévus aussi, reste encore à représenter les tas de scories dégagées pour maintenir les canaux libres.
J'ai tenté de représenter un canal en coulée, mais il faudra revoir ça...


Je répète que je ne dispose d'aucune représentation de ces lieux, je dois tout inventer qui soit
plausible. Et justement je me demande comment ce sable arrivait au niveau du plancher de coulée ?
Il est vrai que la disposition était inverse, c'est ce que je déduis de la position du loup et de la base
visible encore sur la photo aérienne de 61.
Mais mes contraintes de dimensions m'ont obligé d'inverser afin de contracter un peu les installations.
Laissons momentanément de côté cette question.

Je n'ai aucune illustration non plus de la halle qui devait bien couvrir la coulée. J'imagine qu'elle
devait être assez ouverte afin que puisse se dissiper le nuage roux d'oxyde de fer qui accompagnait les coulées.
j'ai fait un essai avec un lanterneau positionné du côté où la chapelle de coulée crache sa lave.

ça prend encore un petit peu plus un aspect sidérurgique

J'ai entrepris d'habiller un peu cette halle, je dispose d'impression de tôle ondulée à l'échelle.
Le problème est de donner un semblant de relief.
Je tente ici d'obtenir un résultat en roulant avec pression une tige filetée M6 sur la plaque de tôle posée sur du liège. ça donne un petit quelque chose...

ces plaques sont collées sur le toit

et sur les pignons, ici, découpe sur le lanterneau


à suivre

Oui... à suivre... et petit à petit, le travail progresse
Après avoir fait quelques aménagements de la halle de coulée, je trouve que la couleur est un peu trop uniforme sur la tuyauterie des gaz.
On démonte et on essaye de salir un peu

pas simple, il faudra encore travailler ça...

mercredi 15 novembre 2017

Cadaquès, bouffe et nous...

En général, notre séjour n'est pas spécialement axé sur ce domaine. Un peu lors du passage en France bien entendu.
Par exemple nous gardons le souvenir d'une cuisse de volaille confite servie au "restaurant de la gare" à Feurs, d'une truffade rencontrée le lendemain au Puy.
Tout ça, sans illustration (sans doute avions nous faim ?)
Avant de passer les Pyrénées on va montrer le loup farci et la ballottine de volaille se Saint-Geniès


et Cadaquès maintenant ? pourquoi Cadaquès cette fois ?
non, ce n'est pas là qu'on vous emmène. Nous n'y avons jamais mis les pieds, mais la façade, les
couleurs, appelaient la photo.
Bon, la photo est prise... on va parler de ce qui nous a frappés

Depuis bien trois ans un restaurant fonctionne dans le club où nous avons l'habitude de résider

Nous n'y étions jamais allés, ayant des habitudes dans le centre, près de la mer.
Ces habitudes ont changé, nous avons pris deux repas le midi dans ce restaurant au bord de la piscine. Ce n'est pas cette proximité qui a dicté notre décision, mais surtout le fait que le propriétaire qui nous en avait déjà parlé, nous a fait visiter son potager d'où viennent tous les légumes servis.


la cuisine est excellente, la présentation est recherchée ce qui n'est pas si habituel, et pourtant, il
n'y a guère de monde (nostra culpa aussi, nous ne venions pas non plus...)
allez... encore un petit dessert


mais il y a aussi notre cuisine... les petites choses que nous ne trouverions pas ailleurs comme cette
aïolle (avé l'assent)
Honte. Honte sur moi. Je ne distingue donc plus un aïoli d'une mayonnaise ? Voilà bien un truc pour finir comme Vatel... pourtant, elle est là la bouteille de vinaigre de Banyuls et les traces du vinaigre aussi sont visibles...
Bon j'ai corrigé, j'espère ne pas être licencié.
et les tomates... belges comme celles du marché, mais celle-ci on sait où et comment elle a poussé.
Y a pas photo.

Ceci nous fait quitter le soleil espagnol et nous souvenir de quelques bons moments récents
ça, c'était les pieds dans l'eau
et ça, c'était délicieusement ensoleillé
et ici nous sommes plus près de chez nous

Cadaques, good food and we ...
everything is in the title
Enjoy your meal

Cadaquès, buena comida y nosotros ...
todo está en el título

Disfrute de su comida

mardi 14 novembre 2017

Cadaquès, mer et bois...


mer... ça va de soi


on a vu ce qu'il y en surface... maintenant, dedans,

même un selfie (faut faire comme tout le monde) dans une anémone

pour ce qui est du bois, qu'on se reporte à notre séjour de l'année dernière.
En plein épisode "Anabois"
J'avais pensé collecter du micocoulier mais j'avais un gros doute très vite confirmé.
Cette fois, c'en est un et un beau. Un qui bouffe un poteau télégraphique
... --- ...
De l'autre côté de la route, un sauvage, fils de l'autre ? sans doute, mais surtout des barbares lui avaient cassé une branche qui restait abandonnée dans le fossé.
Je suis revenu le lendemain

Bien sûr, nous avons revu dans le matorral le massif de cormiers. Ils portaient.


y en a encore... on ne s'endort pas !

Cadaques, sea and wood
we understand easily the sea
for wood, refer to the ROUGE pages about wood species (Anabois)

Cadaqués, mar y madera
entendemos fácilmente el mar
para madera, consulte las páginas ROUGE sobre especies de madera (Anabois)

lundi 13 novembre 2017

Souvenance...

Tout n'a pas été repris dans ces pages.
C'est normal, tout ne doit pas être repris, mais quand même, ce qui était prévu pour être publié, doit l'être. Sinon, on ne se souvient même plus. C'est triste et c'est grave.
Donc, parcourant les photos que je mets plus ou moins en ordre (plus que moins hé !) je retrouve des
choses que je prévoyais de placer ici.
Elles vont arriver avec retard, mais mieux vaut tard...

Il n'y a eu ainsi aucun témoignage de nos vacances de septembre. On va remédier à cette carence :
Depuis les nouvelles dispositions prises par la ville de Lyon quant à la circulation automobile, nous
évitons d'y passer une journée ne désirant pas pour une ou deux occasions par an nous acquitter d'une
taxe pollution :-(
donc, descente avec rocade à Villefranche et par Tarare, on pousse jusque Feurs.
Sur le trajet dans les Monts du Lyonnais nous avons croisé ce merveilleux cabinet de vétérinaire
Brièvement au sujet de Feurs, c'est une petite ville assez agréable malgré quelques relents qui signalent du textile synthétique dans les environs. Mais c'est sans doute la raison pour laquelle il y reste une certaine vie ?

Le lendemain, vendredi 1er septembre, nous avons rejoint Le Puy pour (re)voir, mais de plus près cette chapelle campée sur le sommet d'un piton.
Pas déçus, c'est un endroit magique !

et pendant que nos jambes acceptent encore l'exercice, nous avons gravi l'escalier taillé dans le roc
pour découvrir au sommet un joyau de l'Art Roman




nous quittons donc Saint-Michel-l'Aighuille pour explorer la vieille ville

La cathédrale considérée elle aussi comme un témoignage du Roman nous a éblouis un peu moins.
c'est toutefois relatif car on y trouve des peintures murales conservées ? restaurées ? de belle facture
et une architecture bien représentative de la "solidité" romane
avec une particularité : comme elle est bâtie sur le rocher, son plan épouse ce relief et l'accès se fait
par un escalier qui débouche au plein milieu de la nef centrale
et qui à la sortie, descend jusqu'à la ville par une rue grossièrement pavée
Je pense avoir écrit quelque part plus haut : brièvement ?
Quand je repense à ce que j'ai quand même à dire, je crois que ce sera moins bref qu'annoncé et j'oublierai certainement des choses...
On y va.
Le soir, nous avons relâché à Saint-Geniès-de-Malgoires, dans l'ancienne maison forte du patelin,
 pour y rencontrer d'autres migrants (des Grecs ceux là) le lendemain

Et la semaine que nous avons passée à Cadaquès, nous ne pourons pas la résumer à trois photos (l'église, la mer et les abominables rochers à trous-trous)
Donc on va continuer avec la soporifique séance dias...

Often, we have photos to publish, and then we forget ...
Here are some old photos that find their place here so as not to definitely sink into oblivion
At first, our departure on vacation with the passage through Puy-en-Velay

A menudo, tenemos fotos para publicar, y luego nos olvidamos ...
Aquí hay algunas fotos antiguas que encuentran su lugar aquí para no hundirse definitivamente en el olvido
Al principio, nuestra partida de vacaciones con el paso por Puy-en-Velay