lundi 21 décembre 2015

Les dessous chics...


Retour sur nos modules dans la verte vallée de la Snaye
Pour ce qui est de la route, ça m'a l'air en bonne voie.
Il faudra peaufiner ses contours, réserver ses abords... mais en gros, cela fait bonne figure

Il y a encore un détail à préciser avant le retour au club : le tracé de la rivière.
La Snaye fait à peine trois mètres en largeur et plutôt moins. Il faudra donc prévoir une rigole qui soit de niveau et large de deux centimètres.
Là, j'ai du inventer un truc et je ne sais pas si ça ira. C'est en cours.
J'ai formé cette gouttière sur un morceau de tuyau d'arrosage maintenu en place. J'ai pour ce faire utilisé des petits coupons de tissu de rebut encollés.
Travail de Romain, pour ce qui est du nombre des petits coupons récupérés sur du tissu usé jusqu'à la corde et qui sont assemblés avec de la colle à bois



Pour le tracé, j'ai placé le lit de la rivière par convenance pour ménager l'arrière plan.
Et cette dernière photo explique peut être le titre de la page ?

Chic underwears, because I did use patches of used clothes in order to simulate the river banks

La ropa interior para elegantes, porque utilizado parcelas de ropa usada para simular las orillas del río

vendredi 18 décembre 2015

Vu

de mes yeux vu... le nouveau Passenger
érigé, ainsi que gravé dans la pierre
un peu plus réduit que la version précédente qui se répandait aussi dans la rue qui jouxte l'église Sainte Elisabeth
et revu un peu plus tard avec le sombre qui s'installe
vu encore dans la rue de Nimy cette fresque
qui nous rappelle le funeste destin de la première version

αἰεὶ δὲ πυραὶ νεκύων καίοντο θαμειαί.

Mons termine ainsi son année de capitale culturelle avec ses illuminations des fêtes de fin d'année.

Finally, I saw in Mons "Passenger" the Artwork by Arne Quinze.
It is smaller than the one that was injured
Some think it is not in the right place ... me, yes, and I'm glad I saw it.

Finalmente, vi en Mons "Pasajero" la Obra de Arne Quinze.
Es más pequeño que el que se lesionó
Algunos piensan que no está en el lugar correcto ... yo, sí, y me alegro que lo vi.

dimanche 13 décembre 2015

Où en sont les travaux ?

Les travaux de génie civil autour du viaduc ont un peu ralenti. Sans doute un effet des conditions météorologiques qui se sont un peu dégradées ?
Non, en réalité j'étais un peu bloqué par un doute au sujet de l'aspect de la culée nord.
J'ai profité d'un rayon de soleil pour lever ce doute et pour faire quelques photos qui pourront aider au travail
et ici je vois que j'ai un peu surestimé la hauteur de voûte du passage de la route.
On pourra toujours corriger par la pose d'une semelle ou bien laisser tel parce que en réalité ça fait vraiment passage surbaissé.
Quelques détails sur la maçonnerie aussi pour orienter le choix des briques
et on a repris le travail de terrassement. Je vais faire la partie petit parking et le talus de la route parce que c'est assez délicat, il faut avoir la réalité dans l’œil pour approcher les détails. Je me bornerai à l'esquisse le final se fera en équipe
ici, ce qui était délicat, c'était de maintenir libre la largeur de la route que j'avais taillée un peu juste.
Ça prend forme.


mardi 8 décembre 2015

Apology

For some time, I did neglect the summary of the pages I wrote here.
I apologise and I'll try to correct this situation
Actually it is essentially the construction of modules for the extension of the N gauge model railroad "Vonêche"
As we can see from the photos, the carpentry skeleton is well underway

The next step will be the construction of masonry models in order to cast the components of the archs.

That'll be another challenge

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Desde hace algún tiempo, me hizo descuidar el resumen de las páginas que escribí aquí.
Pido disculpas y voy a tratar de corregir esta situación
En realidad se trata esencialmente de la construcción de módulos para la extensión del modelo ferrocarril "Vonêche"
Como podemos ver en las fotos, el esqueleto de carpintería está en marcha

El siguiente paso será la construcción de modelos de mampostería con el fin de moldear los componentes de los arcos.

Eso será otro desafío

samedi 21 novembre 2015

l'appétit vient en mangeant

dimanche dernier, nous avions laissé le module à la discrétion du chat qui en faisait un examen critique.
C'est donc avec son quitus que j'ai continué comme j'avais commencé.
Tout doucement, arche après arche...
j'avais parlé de nouvelles techniques, rien de révolutionnaire. 
Je me guide sur deux blocs qui ont la bonne dimension comme le montre la photo suivante
j'avais aussi parlé (je pense) du problème que risquait de poser l'angulation de la plateforme des voies pour un éventuel raccord avec d'autres modules.
Le rattrapage, enfin le tracé du rattrapage a été fait avec une latte flexible
et on arrive ainsi au pied de la côte qui nous conduira sur la grand route de Bouillon...
voilà... les grandes arches sont réalisées (enfin leur superstructure) un peu de chipotage et le passage de la nationale est en place
maintenant on a une bonne vision de ce que ce sera. 
J'ai bricolé deux voûtes en carton pour contrôler l'aspect que ça aura
c'est à peu près ainsi qu'on le voit lorsqu'on descend la nationale depuis le "Tilleul"

Ah, encore un détail : pourquoi l'appétit vient il en mangeant ?
Parce que plus je travaille sur ce viaduc, plus je me dis qu'il faudra pour le mettre en valeur lui donner un quatrième module qui représentera la petite maison avec barrières béton et l'avertisseur. 
Il sera ainsi dans son contexte.

en tout état de cause, voici l'aspect général au 23 novembre

dimanche 15 novembre 2015

Mais pourquoi suis je tombé si bas ?


Dimanche 15 novembre, le module 11 est en bonne voie, on l'a vu dans l'intervention précédente.
Dans la foulée on aborde le module 12, le troisième, l'ultime.
On voit tout de suite que c'est sous contrainte

Il faut maintenant remonter. Je ne plaisante pas, au sortir de la tranchée de Thanville, nous étions fièrement à 290 mètres et nous voilà dévalés à 243 mètres sous le viaduc au bord de la Snaye
(au fond sans aucun doute). 
Quarante sept mètres plus bas qu'il faudra bien se taper par un raide talus pour rejoindre la lèvre nord de la vallée.
Quarante sept mètres alors que le viaduc ne fait "que" trente deux mètres à ses plus hautes arches.
Y a comme un mystère... mais n'oublions pas que nous sommes "tous terrains" et tenons compte des talus qu'il faut bien escalader...
Enfin, bref, tout ça pour dire qu'on est dans le module 12 et que ce n'est pas de la tarte d'imaginer l'arrivée sur la nationale de Bouillon et le terrain qu'il faudra bien rendre plat si on veut se raccorder à quelqu'un (faudra quand même pas tricher beaucoup)

Quatorze grandes arches, ça compte. On en arrive à trouver des trucs, à se professionnaliser. D'ici que j'accroche une plaque : Ducran Lapoigne et Cie...j'ai déjà la visite du chat qui vient contrôler les nouvelles techniques... ça va tourner en gag je sens ça...
Il est temps de siffler la pause et de passer à table.
On retrouve le "pelé roulé" avec sa garniture de marasmes et de carottes, l'accompagnement c'est trois purées : pdt et navets, pdt et panais, pdt et céleri rave.
 La bouteille de Closeraie de Sylva Plana n'est pas sur la photo. Mais elle est bien là.

mercredi 11 novembre 2015

en attendant les Compagnons

dans l'attente des tailleurs de pierres, ça avance.
Enfin, on fait "en allant"

Pour le module 11, il faudra lui mettre sa peau avant que d'habiller les piliers en bois avec les briques et les moellons.


samedi 7 novembre 2015

premiers coups de pioche...

c'est au pied du mur qu'on voit le maçon...
et bien non, ici le maçon va commencer par le faîte du mur et il va descendre son ouvrage vers le sol.
... idiot ? non, c'est exactement ce que font les Néo-Zélandais il me semble. Enfin, vu d'ici...

J'ai par ailleurs écrit :
...il reste encore beaucoup de travail en perspective et de nombreuses questions et hésitations torturent encore (agréablement) l'esprit...
Pour ce qui est du travail, on a un peu avancé. Pour ce qui est des questions, elles demeurent, mais on entrevoit une solution. Une piste. Sans doute une passerelle vers un dénouement heureux comme le diraient les "politiques" avec des mots qui  prétendent tout dire et ne disent rien. Je résumerai avec des mots à nous : ça avance.

Jetons un coup d’œil.
Le relief est esquissé. D'habitude, le plan des voies court d'un bord l'autre et il suffit de recouvrir ce relief avec le hard shell pour voir déjà ce qu'on va obtenir. C'est encore ce qui s'est passé avec le module 10.
Ici, le plan des voies à la jonction des modules 11 et 12 est au dessus du bord des modules et il faut lui garder son niveau. Je n'ai pas joué avec fil à plomb ou équerre de charpentier. C'est seulement avec équerres et mesures que j'ai gardé le niveau et que je l'ai fixé par un premier "pilier" du viaduc posé provisoirement.
Avec le retour (momentané) du module 10 on va pouvoir contrôler l'alignement de la plateforme des voies  
et ça a l'air bon.

On peut maintenant entreprendre de monter les piliers de suport. Dans un premier temps un pilier sur deux sera placé au droit des couples intermédiaires préalablement positionnés de 22 cm en 22 cm
(une arche d'axe à axe fait 11 cm d'ouverture)
La flexibilité de ces couples épais de 5,5 mm permettra d'ajuster le fifrelin de différence qui a pu se glisser.

La largeur de la plateforme : 6 cm obligera à resserrer légèrement l'entraxe des voies, c'est prévu pour plus de réalisme.
Voilà, les travaux de terrassement ont donc débuté, mais il va falloir conjointement ouvrir une carrière, établir une briqueterie...
C'est sans doute de cela qu'il sera question la prochaine fois dans "mais les tailleurs de pierres étaient près du Bon Dieu"
et après, le module 12 aura fait son apparition (ne pas oublier que nous ne sommes pas bien loin de Beauraing) et il faudra s'attaquer aux arches les plus hautes du viaduc, une trentaine de mètres.
Ce chapitre devra se nommer "e pericoloso sporgersi" en hommage aux ouvriers majoritairement Italiens qui ont bâti ce viaduc.
Mille grazie  ragazzi.

lundi 2 novembre 2015

Sous le soleil d'automne et sous les spots.

La nature tourne franchement à l'automnal. Mais l'automnal lumineux, c'est beau.

les activités intérieures ont toutefois pris le pas

et avec l'exposition cinquantenaire du RMM le modélisme reste d'actualité.
L'occasion d'encore tirer quelques photos de détails

avant que le réseau ne reprenne la route : dans quelques jours il sera à Stuttgart ; et aussi de revoir le module 10 qui a toute sa peau et qui revient de chez Jacques avec son tunnel posé


le peloton des poursuivants n'est toutefois pas bien loin, le module 11 détaché a entamé la chasse derrière l'échappé


mais si le versant de la vallée de la Snaye se profile, il reste encore beaucoup de travail en perspective et de nombreuses questions et hésitations torturent encore (agréablement) l'esprit...

dimanche 25 octobre 2015

La barbarie n'est jamais bien loin.

Non, il y avait deux ans que ces visions effrayantes avaient déserté le blog.
Mais voilà... il ne reste que deux pots de confit.
Plutôt que de risquer manquer, nous allons nous replonger dans les visions d'horreur d'il y a deux ans
mais, puisque je vous donne le lien, ce ne sera pas la peine de retourner le couteau dans la plaie.
Parlons d'autres choses.
  En rapport avec l'intérêt revenu vers le modélisme, j'ai tiré quelques clichés, quelques "spots" du réseau Vonêche (qui va avoir des petits frères)
En voici quelques exemples :


J'ai aussi pris le portrait de cette bizarre graminée que nous avions ramenée de la vallée du Jaur, entre Ollargues et Mons,
et voici autre chose qui nous fera repenser aux canards : vers la même époque nous avions fait des choses avec nos faux coings. Il faudra sans doute reparler aussi de ça ?

Il y en a un qui ne se sent absolument pas concerné par toutes ces choses et qui  au moins prend l'ascendant sur le chat de pierre. Cool.