Nous voici de retour. Et cela va être difficile de faire une brève synthèse.
Trop de moments divers. Risque d'être confus en voulant parler de tout en même temps alors on va y aller chronologiquement.
Jeudi 5 septembre on larguait les amarres laissant le port à la garde du chat.
Le lendemain, premier temps fort, nous retrouvons l'Hermione. Si bien matée la bougresse que je me demande encore pourquoi je continue comme nos amis Anglo-Saxons à parler d'Elle au féminin...
L'année dernière, ce qui m'avait frappé, c'est le travail de charpente, déjà masqué par les finitions mais encore bien décelable. Cette année, avec la mise en place de la mâture, ce sont les cordages, c'est la voilerie aussi qui étaient remarquables. Alors quelques photos:
sans nous perdre dans les détails, disons tout de suite que c'est merveilleusement complexe
et ce jusqu'au plus simple des nœuds
Le dimanche 8 septembre, une autre étape importante de ces vacances: Moissac.
Au départ, cette étape n'avait pas été prévue, elle s'est imposée de par les disponibilités de logement.
Nous avons ainsi passé une nuitée à l'hôtel Marceillac de Castelsarrasin (retour quelques années en arrière) et l'étape suivante s'en trouvant raccourcie nous a permis de revisiter ce haut lieu.
Nous passerons sur le porche et son apocalypse de Saint Jean qui est merveilleusement traité sur youtube, pour voyager un peu autour du superbe cloître:
grande imagination et maîtrise totale de la technique pour arriver à un exceptionnel univers de sculpture
Nous ne nous étendrons pas plus sur les éléments habituels des vacances, aussi agréables soient ils, pour seulement illustrer quelques rencontres particulières:
et le tournage ? loin loin le tournage ?
non, jamais bien loin le tournage. A preuve, pour la première fois j'ai rencontré un cormier.Un tronc de quinze à vingt centimètres et phénomène non décrit, entouré de rejets sur grosses racines.
bien à l'abri le cormier, il pousse dans le parc naturel du Cap Creus. Un terrain truffé de trésors avec des tas de racines de bruyère. Acidophile ça ...par contre le cormier lui il demanderait plutôt du calcaire. Mais là où il pousse il doit y avoir un affleurement, pour preuve la présence de quelques beaux cades dans son voisinage, et celui ci précisément présente sans doute un aspect ondé comme semblent l'indiquer les plis sur son tronc.
Je ne saurai jamais...
encore quelques moments. A Uzès,le samedi 14 rencontre de l'arbousier.
et un avis avisé...