dimanche 6 novembre 2016

L'histoire ne repasse pas les plats.

Si fait !
Ce n'est pas que je veux prendre le contre pied de Céline que j'aime beaucoup (et qui mérite beaucoup mieux que l'image réductrice que les bien pensants ont donnée de lui).
Lui, pensait je crois qu'une seconde chance n'est jamais donnée et moi simplement je pense que les choses peuvent se reproduire, sans prétendre que le plat sera du même assaisonnement.
Pour revenir sur Louis-Ferdinand, je pense que ce bonhomme dans le fond avait bien plus d'humanité que ce que par une sorte de pudeur il ne voulait laisser paraître. Bien d'autres qui se démènent pour que leur grandeur d'âme apparaisse (au tout premier plan si c'est possible) n'ont en fait aucune charité et ne se préoccupent  que de leur image, que de leur carrière.
Ceci posé,suivez moi, suivez nous.

lors d'un épisode précédent , c'étaient les fruits de nos cognassiers (du Japon) mais, cette année ils faisaient vraiment piètre figure
alors, lorsque Sabine a vu des coings au marché, elle n'a guère hésité. Ici, la survivante du massacre donne une idée de la différence, il n'y a pas photo comme on dit.
Mais si !
je parlais de massacre et de fait ça a débuté ainsi


et de la même manière, tout devient clair à la cuisson


Mais, revenons aux dépouilles, elles vont se faire écraser, passer au chinois

et la pulpe récoltée sera cuite doucement et longuement au four laissé entre ouvert
J'ai dit doucement, c'est certain. Mais longuement... c'est peu dire ! Et le dimanche matin, le canard était toujours vivant, mais en plus la pâte de fruits était toujours molle et coulante.
En fait, il y en avait trop. Alors il a fallu la séparer et passer chaque couche à la cuisson

Mais, boudiou ça en valait la peine.

c'est une friandise sublime.

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