vendredi 23 août 2013

Bricoles

Bien sûr, il existe des petites pochettes avec des aiguilles rangées dedans. Il fut même un temps où on recevait ce genre de choses et j'en ai même retrouvé un "Lydo Tissus rue Edouard Herriot" en vidant mon armoire...j'étais paré pour les boutons défaillants...ne manquait que le porte aiguille, mais ça j'avais sous la main...
Nous vivons maintenant des temps sauvages d'où la générosité, même le simple calcul basé sur retour s'est fait la malle. Alors pour les agendas à la banque, la pochette dans les entrepôts qui ont remplacé les magasins, pour toutes ces choses d'hier...tu peux te gratter...
Mais ce n'est pas ce manque, cette précarité nouvelle qui a motivé la fabrication de cet objet. Non, c'est le simple désir de bricoler quelque chose, de faire quelque chose de beau.
Alors voilà, je crois que ça a une certaine gueule
mais peut être que ce n'était que des gammes en prévision d'une nouvelle ceinture ?

Et les trous ? le nœud de trous ?
j'ai failli avoir un trou de mémoire en plus...
Les trous ont été creusés...par derrière...oui, je parle des trous en tas dans du bois d'aubépine. J'ai repris la même technique que pour ce que je nomme maintenant les "bi-coques" interposition d'une certaine épaisseur de bois martyr, tournage creusage et sacrifice de ce bois martyr.
Voilà en photo:
oui...je m'y attendais, mais on va essayer de composer avec

et le nettoyage des traces des vers.
Sabine en tirant cette photo me regardait bizarrement...elle a dit que c'est incurable...

Hier, jeudi 22 août, nous avons une fois de plus rejoint Bruxelles par le train.
Pourquoi le cacher un motif premier de ce déplacement était le repas au restaurant Strofilia. Une petite photo en dira plus long que tout un texte, mais pas assez pour vraiment mettre l'eau à la bouche. Allez, on aide il y a trois choses visibles: des filets de bar en feuille de vigne, du poulpe grillé et de la salade d'aubergine

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