vendredi 17 octobre 2014

Par monts et par vaux

Mardi 14 octobre. Un peu de cyclo.
Au départ j'étais un peu réticent, en général on roule au long des chemins de halage ou lignes de chemin de fer aménagées. C'est relativement plat.
Sabine qui depuis quelques jours a pris l'habitude de faire un circuit dans le voisinage est arrivée à me débaucher de ma pièce en cours. On comprendra donc que je prends un peu de retard.
Il faisait beau, même un peu chaud (toute proportion gardée) alors on a un peu roulé sur des chemins de traverse. Peu fréquentés, même très peu, c'est beaucoup plus agréable.
C'est fou ce qu'un territoire paraît plus grand et plus complexe quand on entre dans son détail. Une surface de maximum deux mille mètres sur mille autour de laquelle on passe d'habitude en voiture, on la croit à peu près plane. non, elle est entaillée de deux vallées, petites mais bien marquées, on passe dans le voisinage d'une mare toujours en eau, on la connaît, mais on ne savait pas jusqu'aujourd'hui vers ou partait son excédent. C'était pas l'Amazonie, mais c'était bien plaisant.
Quelques photos.





on y reviendra...j'ai écrit on y reviendra...
 La pièce à peu près terminée, je cherchais comment la présenter. Éternel problème avec les pièces qui ne se posent pas naturellement.
Son aspect m'a rappelé (à peu près) une pièce que j'aime beaucoup pour son esthétique et sa simplicité
Aussi sans vergogne, j'ai un peu copié la présentation de Lynne Yamaguchi.
Et voilà comment on en arrive à Sakura ce qui en japonais signifie cerisier.

Abstract :
a little interlude. a small cycling in the area around our house ... 
and finally the presentation of the waiting piece

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