lundi 8 juin 2020

en grandes pompes

mais dans ses petits souliers...
et bien entendu, pas en grande pompe. Quoique... c'est bien fait, mais ce n'est juste qu'un petit trente-sept...
Mais, c'est tout un art ça... Giono traite du sujet en parlant de son père et c'est un art qui se perd.
Un art fascinant et qui demande une sacrée dextérité

mais le résultat est là, et c'est confortable, dixit l'intéressée
et tant qu'à faire la fil... j'ai un doute sur l'orthographe là...
tiens en parlant de queue, nous avons rencontré dans notre piscine (là, j'ose...), un animal doté et d'ailleurs appelé vulgairement larve à queue de rat.
Mais ce n'est pas une queue, c'est un siphon respiratoire, c'est une larve d'eristale, un syrphidé bien utile dans les jardins, pour la polinisation bien sûr, mais aussi en tant que nettoyeur.
Sa larve aussi d'ailleurs, elle a mérité le surnom de ver de purin...
on en apprendra plus en consultant : LES DIPTERES SYRPHIDES, de jolies "mouches" héliophiles au vol très rapide
c'est de là que je copie cet extrait peu flatteur pour notre "piscine"*
Larves saprophages des Eristalides : vivent dans les eaux boueuses, souillées riches en matière organique, fosse d'aisance, lisier...(c'est le cas de la "larve queue de rat" de l'Eristale-pourceau qui possède une queue qui correspond à un siphon respiratoire composé de 3 articles télécospiques dont l'extrémité est en contact avec l'air extérieur; cette "queue" peut atteindre 4 cm; elle possède de petits mamelons garnis de crochets pour remonter sur les surfaces lisses et se "métamorphoser" et former une pupe avec 4 cornes stigmatiques appelée "petite souris")

* On aura compris j'espère que notre piscine n'est en réalité qu'un bac tampon pour l'eau de pluie, mais elle nous permet d'observer d'intéressants insectes et larves. Un jour peut-être je publierai ici une photo de larve de libellule en macro... un monstre !


Bon, ne parlons plus de notre piscine  :-(.

Pour retrouver le fil, ça y est, c'est  le bon fil,
Sabine est occupée avec ceci
j'ignore si c'est pour ses godasses, mais voilà ce que ça donne

et, j'avais parlé de quitter un peu le sujet, mais, y a pas de mal à se faire du bien
une grillade toute simple
et un coquelet au vin jaune et aux morilles. 
L’occasion de goûter nos petits pois.

Jamais deux sans trois, il nous restait du vin jaune (Fruitière vinicole d'Arbois 2004), l'occasion d'aller acheter du Conté (12 mois) et de faire une quiche personnelle avec poireaux, lard et copeaux de jambon sec sur pâte extra-fine. La salade, vinaigrette au vinaigre de Banyuls "la Guinelle", c'était aussi du rab avec, pour essai, des grains de maïs passés légèrement au gril. 

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