vendredi 18 avril 2014

Aux bras des demoiselles

Comme formulé ailleurs, c'est le bois qui a commandé.
J'avais l'espoir de révéler un fil merveilleux, mais, déception.

La forme générale était celle là. Lors du travail, l'image du tableau de Picasso s'est imposée, j'avais l'impression de conduire ma pièce vers "ça"

et à partir de là, j'ai approfondi le sujet
ainsi que je le sentais, Picasso dans cette posture retrouve le geste de la porteuse d'eau, on le voit dans l'étude qui a précédé et que je reproduis ci dessus. Geste de la femme africaine porteuse d'eau.
Et cette attitude, on la retrouve encore dans la danse, classique, moderne ou flamenco.
Une attitude première ? 

et le tournage mis à part, quelques clichés:
Comment passer un coup de fil...
gland d'élite
la fin des fleurs d'amélanchiers...

Samedi 19 avril
Il y a des oublis...j'avais écrit que la présentation de l'amphore bleue sur sa petite plage ne m’emballait pas trop. Qu'on verrait plus tard.
On a vu et je n'ai pas montré ça ici, donc, corrigeons l'omission
et on saisit l'occasion pour parler d'une capucine qui a passé tout l'hiver dans la serre.
Elle a fleuri tout l'hiver (qui n'a pas été trop rigoureux) et maintenant la voilà grimpant discrètement au long d'un pied de vigne, et toujours en fleurs.

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