Trois fois Troyes, c'est pas neuf...
Non; je pense que nous avons déjà rejoint Troyes à trois reprises d'autres années.
Au temps où nous bougions plus, vers les années 89/90 nous avions même assisté à un spectacle son et lumière qui avait pour vedette la cathédrale.
et je pense que l'endroit d'où nous avions assisté à ce spectacle projeté sut la façade de la cathédrale, c'était à peu près le dos tourné devant cette maison de production de la "Prunelle
Lorsqu'on regarde la cathédrale, on ne se rend pas compte de l'aspect massif de l'intérieur, cela aussi avait du nous échapper, mais c'est sans doute une des raisons pour laquelle il n'y a qu'une tour
Le parcours suivi pour arriver à cette cathédrale nous a fait découvrir autre chose : dans la rue empruntée, sur le trottoir de gauche, un peu en arrière de la place d'où est tirée la première photo, un passage étroit s'ouvre entre deux maisons, il s'élargit un peu et vire à gauche à angle droit...
la curiosité nous pousse... et on découvre un vaste bâtiment qui porte les stigmates d'une histoire complexe
Quand j'écris complexe, je n'invente rien
le porche de la porte et l'œil de bœuf sont très joliment appareillés en briques, c'est normal, la pierre est plus compliquée à mettre en œuvre pour cela.
Mais, une restauration du mur en moellons est aussi effectuée en briques et pour assembler cette réparation le mur en pierres est conservé dans la portion supérieure, il ne s'est donc pas affaissé, d'autant plus que tout ceci se passe dans un remplissage d'une ancienne ogive... c'est un travail difficile à imaginer.
Une autre découverte, cette fois c'est dans le petit jardin attenant à la superbe église Sainte Madeleine
encore des cintres gothiques occultés, mais d'où peut provenir cette bouche de meurtrière qui a trouvé un réemploi dans ce lieu de calme ?
Puisque nous en sommes aux découvertes du plus ou moins neuf, nous avons mangé le premier jour chez Pierre et Clément que nous avions découvert au mois d'août.
Mais le lendemain, c'est un peu plus loin dans la ruelle des chats, au fond d'une petite cour intérieure que nous avons essayé "Octave"
Mais le lendemain, c'est un peu plus loin dans la ruelle des chats, au fond d'une petite cour intérieure que nous avons essayé "Octave"
Très bonne adresse aussi et avec un rapport qualité/prix qui laisse rêveur
Sabine : moules de bouchots en entrée et Poitrine de porc et grenailles
Lionel : moules pareil suivi d'une andouillette qui a sa place dans un peloton de tête (le cuisinier doit la bâtir lui même)
Attention, il y a peu de tables, au déjeuner il n'y a que la cuisine du jour avec deux menus toutefois. Donc il y a intérêt à réserver.