mardi 23 janvier 2024

if

...
If you can dream—and not make dreams your master; 
If you can think—and not make thoughts your aim; 
...
If you can meet with Triumph and Disaster
And treat those two impostors just the same;
Or watch the things you gave your life to, broken,
And stoop and build ’em up with worn-out tools:
... you’ll be a Man, my son!

Merci Monsieur Kipling
Yes...I'm... but an old man...

Au décours de mes chipotages en modélisme, le premier décembre de l'an passé, j'ai écrit :
L'empreinte silicone en a été faite et maintenant, si cette empreinte est satisfaisante...
et bien entendu,
elle n'était vraiment pas satisfaisante.

Maintenant, j'en suis certain, il s'agit d'une incompatibilité du silicone d'empreinte avec un composant résiduel de la colle époxy. Mais lequel ?
Après quelques recherches, je n'en sais toujours pas plus, alors j'ai refait les manœuvres en donnant du temps au temps, l'impatience est un défaut majeur.
Après récupération du modèle, je l'ai laissé au chaud assez longtemps, au moins quinze jours, en supposant que l'agent responsable devait avoir une certaine volatilité. 
Deux couches de peinture primer... et j'ai croisé les doigts

J'ai donc pu faire un modèle de ce bogie Demag, en prendre l'empreinte (sans époxy), et mettre en route la coulée des six bogies
qui me seront nécessaires pour continuer le travail sur l'isotherme avec cuve Thiriau qui a été utilisé chez Hainaut-Sambre.
La configuration des flancs de ce bogie est un beau piège à petites bulles, ce n'est donc pas "donné" mais on arrive à quelque chose de pas trop "incorrect"
la photo aide à voir où il faut un peu "gratter"
Le montage sur plaquettes bois permettra de mettre au point le rapport cuve / bogies
et, après quelques essais de "miséramodéliste" tâtonneur,

voici ce que ça donne en m'inspirant d'une photo prise par Jacques Quoitin sur le faisceau de Dampremy


Il reste encore beaucoup de travail de finitions, mais après avoir constaté la difficulté pour mettre cette complication sur les rails j'ai un gros doute de voir rouler ce wagon de 262 tonnes en charge...

vendredi 19 janvier 2024

Tombe la neige...

impassible manège...
mais qui n'a guère duré.
C'était annoncé, mais si tout ce qui est annoncé doit arriver...
c'était mercredi le dix-septième jour du mois de janvier. Le froid s'installait sur un terain encore bien humide, cela n'a pas tardé de la glace a commencé a recouvrir tout ce qui était recouvrable.

le soir une fine poudreuse commençait à tomber sur ce qui était glacé

Le matin du 18, ce n'était pas bien épais comme couche, mais ça glissait sérieusement en dessous




le service d'épandage est passé fort tard aussi c'est par précaution que nous avons fait les courses nécessaires en début d'après-midi.
Mais aujourd'hui, c'est bien dégagé et il ne semble pas que la neige va revenir nous visiter.
L'année dernière, je crois que nous ne l'avions même pas vue...

mardi 9 janvier 2024

C'était la fin.

pour la fin de l'année, nous avions encore des roses
Je pense avoir déjà parlé de ce rosier qui était ici avant nous.
Lors de l'achat et des travaux autour de la maison, en 1977, ça fait bien loin, il avait été enterré sous au moins 50 centimètres de remblai.
Dans les années suivantes il a reparu, il est là et nous le respectons beaucoup.


Ce qui suit est fait avec des restes...

cuisse poulet cuite, hachée au couteau
1/2 oignon émincé
queues de persil hachées QS
1 gousse d'ail
1 œuf complet avec léger voile de muscade
8 grains de poivre
léger poudrage de piment d'Espelette
un peu de céleri poudre
vieux pain sec râpé QS
repos au four de 10 H ad cuisson

Sauté dans petite poêle en fonte, 
servi avec salade chou blanc-échalottes-moutarde ancienne
Sauce soja light. C'était juste un petit essai

Mais la suite, la fin de l'année, les réveillons, ce ne furent pas des restes.
Le réveillon de la Noël, Sabine a composé une simple petite salade


et devant le foyer ouvert nous nous sommes régalés

Pour la Nouvelle Année, nous avions commandé un menu traiteur auprès du restaurant " le Pont des Anges"

Nombreuses "mises en bouche"
 - Tartare de saumon, aneth, raifort.
 - Velouté de topinambour
 - Croque-monsieur, chorizo, parmesan
 - Ravioles de crevettes, bouillon thaï
 - Nem de légumes, sauce aigre-douce

tout ça, suivi par des Saint Jacques rôties en croute de noisettes
le dessert a été une mousse au jus d'orange et citron avec fruits confits
le vin qui a accompagné tout ça :  toujours le Fiano des frères Fusco 2020 (il poggio)
heureusement Sabine avait tout noté...
C'était délicieux et aussi assez copieux, au point que sagement nous avons reporté un plat au repas du lendemain
roulade de volaille...