et bien non, ici le maçon va commencer par le faîte du mur et il va descendre son ouvrage vers le sol.
... idiot ? non, c'est exactement ce que font les Néo-Zélandais il me semble. Enfin, vu d'ici...
J'ai par ailleurs écrit :
...il reste encore beaucoup de travail en perspective et de nombreuses questions et hésitations torturent encore (agréablement) l'esprit...
Pour ce qui est du travail, on a un peu avancé. Pour ce qui est des questions, elles demeurent, mais on entrevoit une solution. Une piste. Sans doute une passerelle vers un dénouement heureux comme le diraient les "politiques" avec des mots qui prétendent tout dire et ne disent rien. Je résumerai avec des mots à nous : ça avance.
Jetons un coup d’œil.


On peut maintenant entreprendre de monter les piliers de suport. Dans un premier temps un pilier sur deux sera placé au droit des couples intermédiaires préalablement positionnés de 22 cm en 22 cm
(une arche d'axe à axe fait 11 cm d'ouverture)
La flexibilité de ces couples épais de 5,5 mm permettra d'ajuster le fifrelin de différence qui a pu se glisser.
La largeur de la plateforme : 6 cm obligera à resserrer légèrement l'entraxe des voies, c'est prévu pour plus de réalisme.
Voilà, les travaux de terrassement ont donc débuté, mais il va falloir conjointement ouvrir une carrière, établir une briqueterie...
C'est sans doute de cela qu'il sera question la prochaine fois dans "mais les tailleurs de pierres étaient près du Bon Dieu"
et après, le module 12 aura fait son apparition (ne pas oublier que nous ne sommes pas bien loin de Beauraing) et il faudra s'attaquer aux arches les plus hautes du viaduc, une trentaine de mètres.
Ce chapitre devra se nommer "e pericoloso sporgersi" en hommage aux ouvriers majoritairement Italiens qui ont bâti ce viaduc.
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